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Dans l’ère fulgurante de l’intelligence artificielle (IA), où les prouesses technologiques semblent redessiner les limites du possible, une question demeure au cœur du débat artistique : la machine peut-elle rivaliser avec l’humain dans le domaine de la création pure ? En tant qu’artiste peintre contemporain, créateur du mouvement du storytelling art, je m’interroge sur la capacité de l’IA à égaler la profondeur émotionnelle et l’authenticité qui émanent de l’art humain. Cet article propose une réflexion sur les limites intrinsèques de l’IA en matière de création artistique, en soulignant l’importance irremplaçable des expériences et des émotions humaines dans le processus créatif.

L’Émotion, Essence de la Création Artistique

Au cœur de l’acte de création, l’artiste puise dans un réservoir d’expériences vécues, de sentiments éprouvés et de réflexions personnelles. Chaque œuvre est l’expression d’un moment, d’une émotion, d’une pensée qui, bien que transposée sur une toile, dans une sculpture ou à travers une musique, reste profondément humaine. Cette capacité à ressentir, à vivre pleinement chaque instant, à se laisser submerger par la joie, la tristesse, l’amour ou la colère, confère à l’art sa puissance et son universalité. Les œuvres d’art ne sont pas de simples objets esthétiques ; elles sont le reflet de l’âme de l’artiste, un pont entre les sensibilités.

Intelligence Artificielle : La Prouesse sans l’Âme

L’intelligence artificielle, malgré ses avancées spectaculaires, opère dans un cadre défini par des algorithmes, des données et des modèles prédictifs. Elle peut générer des œuvres qui, à première vue, rivalisent avec la complexité et la beauté de l’art humain. Cependant, ces créations sont le produit de calculs et d’analyses de tendances, non de vécus émotionnels. L’IA peut imiter, reproduire, voire surprendre, mais elle demeure dénuée de la capacité à ressentir. Elle ne connaît pas l’élan du cœur qui guide la main de l’artiste, ni l’histoire personnelle qui se tisse derrière chaque coup de pinceau.

L’Inimitable Singularité de l’Expérience Humaine

La création artistique est souvent la conséquence de nos expériences, de nos interactions et de notre perception du monde. Elle est intrinsèquement liée à notre condition humaine, à notre capacité à donner un sens, à chercher une connexion, à exprimer notre singularité. Chaque artiste apporte au monde sa vision unique, façonnée par son histoire, ses voyages, ses rencontres et ses émotions. Cette richesse de perspectives est quelque chose que l’IA, malgré toute sa sophistication, ne peut espérer imiter dans sa véritable essence.

Vers une Coexistence Créative ?

L’intelligence artificielle a sa place dans le monde de l’art, non pas en tant que rivale, mais comme un outil supplémentaire à la disposition de l’artiste. Elle peut ouvrir de nouvelles voies d’exploration, offrir des moyens inédits de réalisation et stimuler la créativité humaine à travers une collaboration inédite entre l’homme et la machine. Cependant, il est essentiel de reconnaître que l’IA ne saurait remplacer l’essence même de la création artistique, ancrée dans l’expérience humaine et l’expression émotionnelle.

L’art, dans son expression la plus pure, est le reflet de l’âme humaine, un témoignage de notre existence éphémère, de nos joies, de nos peines et de nos aspirations. Si l’intelligence artificielle peut enrichir le paysage artistique de ses innovations, elle ne peut prétendre à la profondeur émotionnelle et à la singularité qui caractérisent l’œuvre humaine. En tant qu’artistes,

notre rôle est de continuer à explorer, à ressentir et à créer, en veillant à ce que l’essence de l’art demeure une célébration de la condition humaine, avec tout ce qu’elle comporte d’imprévisible, de fragile et de magnifiquement unique.

Exrait de l’épisode du Prisonnier “Le Général”

Pour illustrer l’argument selon lequel la création artistique est intrinsèquement humaine et ne peut être répliquée dans sa pleine expression par l’intelligence artificielle, l’épisode intitulé “Le Général” de la série culte “Le Prisonnier” offre une parabole saisissante. Dans cet épisode, une machine sophistiquée, capable d’absorber et de réciter des connaissances à une vitesse phénoménale, est présentée comme un outil d’éducation révolutionnaire. Cependant, malgré sa capacité à stocker et à restituer des informations, la machine se révèle incapable de comprendre ou de traiter une question fondamentalement humaine.

À la fin de l’épisode, la machine, confrontée à une interrogation qu’elle ne peut résoudre, explose littéralement. La question fatale posée, qui cause sa destruction, est révélée être d’une simplicité et d’une profondeur profondément humaine: “Pourquoi ?”. Cette question, si basique et pourtant si complexe, encapsule l’essence de la quête humaine de sens, une quête qui va bien au-delà de la simple accumulation de connaissances. Elle symbolise notre désir inné de comprendre non seulement le comment, mais le pourquoi des choses, une démarche qui implique émotion, intuition et expérience vécue.

Cet épisode illustre parfaitement la thèse de cet article : la technologie, aussi avancée soit-elle, reste limitée face à la complexité de la pensée et de la création humaines. L’art, dans toute sa diversité, est le fruit de notre capacité à questionner, à ressentir et à exprimer ces interrogations et ces émotions. Il est le reflet de notre quête de sens, de notre besoin de connecter avec les autres à un niveau profond et authentique.

La destruction de la machine dans “Le Général” sert de métaphore puissante à la limitation de l’intelligence artificielle dans le domaine de la création pure.

C’est dans cette optique que dans mon oeuvre et mon roman graphique “L’empire de l’accélération”, j’introduis le symbole du “Question Mark” qui n’est pas seulement un motif esthétique mais le porte-drapeau d’une résistance intellectuelle contre l’accélération technologique.

#IA #art #storytelling


“L’Empire de l’Accélération” par Marc Ferrero : Un Voyage Révolutionnaire dans le Storytelling Art

Introduction :
Marc Ferrero, le pionnier du Storytelling Art, présente “L’Empire de l’Accélération”, un roman graphique innovant basé sur une collection impressionnante de cinquante toiles à l’huile en grands formats. Cette œuvre marque une première dans l’histoire de l’art, fusionnant de manière magistrale la peinture et la narration graphique pour créer une expérience immersive et réfléchie.

Synopsis : Un Monde Dystopique où le Temps a Perdu Sa Valeur
Dans ce récit captivant, le temps est devenu obsolète sous le règne de Lord Truelove, un sombre personnage qui instaure l’Empire de l’Accélération. Les repères temporels s’effacent, et les hommes multifaces, masqués, perdent leur humanité dans une quête incessante de plaisir éphémère. Ce monde dystopique, alimenté par des capsules “de rêve”prêt à rêver” illusoires, résonne comme une critique puissante de notre société moderne.

"Marc Ferrero, Storytelling Art, 'L'Empire de l'Accélération', tableau grand format, scène dystopique, Gardiens de la Conscience en résistance, masques symboliques, fusion de peinture et récit graphique."
Huile sur toile 180 X 180 cm

Les Gardiens de la Conscience : Des Héros pour l’Humanité
Face à cette aliénation, émergent les Gardiens de la Conscience, des individus lucides et résolus, luttant pour préserver les valeurs essentielles de l’humanité. Leur histoire, racontée à travers les toiles, incarne la résistance et l’espoir dans un monde accéléré.

Une Révolution dans la Composition Artistique
Marc Ferrero réinvente l’art narratif en mêlant la verticalité de la peinture à l’horizontalité du roman. Chaque toile, un chapitre de l’histoire, et l’ensemble, une saga captivante. Cette fusion crée une dynamique visuelle unique, invitant à une exploration multidimensionnelle de l’œuvre.

Fast life cities la comitive superheroes

Un Voyage Narratif International
“L’Empire de l’Accélération” n’est que le début d’une série ambitieuse qui promet de transporter le lecteur à travers différentes cultures et pays. Chaque épisode, conçu pour être une œuvre d’art en soi, enrichira la saga avec de nouvelles perspectives et réflexions.

Conclusion : Un Appel à l’Exploration et à la Réflexion
Avec “L’Empire de l’Accélération”, Marc Ferrero n’offre pas seulement un spectacle visuel ; il invite à une réflexion profonde sur le temps, l’humanité et la société. Cette œuvre révolutionnaire ouvre de nouvelles voies dans l’art contemporain, offrant une expérience inédite et significative. C’est une invitation à explorer, à contempler et à se connecter avec l’art d’une manière jamais vue auparavant.


Marc FERRERO, artiste créateur du mouvement du storytelling art a donné naissance au premier roman graphique en peintures. Ce projet innovant mêle l’art, le storytelling et le roman graphique pour offrir une expérience artistique unique aux lecteurs et spectateurs. Découvrez comment Marc FERRERO a réussi à libérer son génie artistique grâce au storytelling Art à travers ce projet créatif hors du commun.

STORYBOARD “L’empire de l’accélération” Original Huile sur toile 260 X 162 cm par Marc FERRERO

Le potentiel de la scénarisation dans le monde de la peinture

La scénarisation, généralement associée à l’écriture de scripts pour le cinéma ou la télévision, a trouvé une nouvelle dimension dans le monde de la peinture grâce au storytelling Art. Cette technique unique a permis de libérer le potentiel narratif des peintures de FERRERO, transformant ses œuvres en véritables récits visuels.
En explorant les différentes techniques de narration utilisées dans les romans graphiques, Marc FERRERO a pu donner une nouvelle vie à ses personnages et créer des histoires captivantes à partir de ses toiles. Grâce à cette approche novatrice, il a réussi à immerger les lecteurs dans son univers artistique, leur permettant de vivre une expérience bien au-delà de l’admiration passive d’une peinture.
Plongeons plus en profondeur dans les techniques utilisées par Marc FERRERO pour scénariser ses peintures et les raisons pour lesquelles le Storytelling Art ouvre de nouvelles perspectives pour le monde de l’art.

Comment scénariser ses idées pour créer des histoires artistiques

Dans la prochaine section, nous explorerons en détail les techniques utilisées par Marc FERRERO pour scénariser ses idées et créer des histoires artistiques captivantes. Vous découvrirez comment il transforme ses toiles en véritables récits visuels, en utilisant des éléments tels que la composition, la couleur et la perspective pour donner vie à ses personnages et à leurs aventures.

L’une des premières choses qui frappe lorsque l’on regarde les œuvres de Marc FERRERO est sa maîtrise de la composition. Chaque toile est minutieusement planifiée et organisée, créant ainsi une structure narrative solide. L’artiste utilise des lignes et des formes pour guider le regard du spectateur et mettre en évidence les éléments clés de l’histoire. Par exemple, dans certaines de ses œuvres, il utilise des lignes diagonales pour créer une tension et une dynamique, tandis que dans d’autres, il utilise des formes géométriques pour représenter des lieux ou des objets importants.

La couleur est un autre élément crucial dans le travail de Marc FERRERO. Il utilise des palettes de couleurs essentiellement à l’huile vives mais subtiles pour donner vie à ses personnages et à leur environnement. Les couleurs sont choisies avec soin pour créer une ambiance spécifique et renforcer l’émotion de l’histoire. Par exemple, il peut utiliser des tons chauds et vibrants pour représenter la joie et l’excitation, tandis que des teintes plus sombres et froides peuvent être utilisées pour créer une atmosphère de tension ou de mystère.

La perspective est également une technique importante utilisée par Marc FERRERO. Il joue avec les angles de vue pour créer une illusion de profondeur et donner une sensation de réalisme à ses toiles. En utilisant des perspectives audacieuses et inhabituelles, il crée un effet cinématographique qui amène les spectateurs à plonger dans l’histoire et à lui donner une dimension tridimensionnelle. Cette manipulation de la perspective crée une immersion totale et permet au spectateur de vivre l’aventure à travers les yeux des personnages.

En plus de ces techniques, Marc FERRERO utilise également des détails minutieux pour renforcer son récit. Il accorde une attention particulière aux expressions faciales et aux gestes des personnages, leur donnant ainsi une personnalité et une émotion distinctes. De plus, il intègre souvent des éléments symboliques ou des métaphores visuelles pour transmettre des messages plus profonds. Ces détails subtils ajoutent une couche de complexité à ses histoires et invitent le spectateur à une réflexion plus profonde.

En conclusion, Marc FERRERO est un maître dans l’art de scénariser ses idées et de créer des histoires artistiques captivantes. Ses techniques de composition, de couleur, de perspective et de détails minutieux travaillent ensemble pour donner vie à ses personnages et à leurs aventures. En utilisant ces éléments, il parvient à captiver le spectateur et à l’immerger dans ses récits visuels.

Les avantages de la scénarisation dans la création artistique

En intégrant des éléments narratifs à ses tableaux, FERRERO crée une expérience immersive pour les spectateurs et les lecteurs.
Tout d’abord, la scénarisation permet à l’artiste de mieux communiquer son message et de raconter une histoire visuelle captivante. En utilisant des techniques narratives telles que la mise en scène, le développement des personnages et l’intrigue, FERRERO crée une connexion émotionnelle plus profonde avec son public.
De plus, la scénarisation permet à l’artiste de transmettre des concepts complexes de manière plus accessible. En utilisant des éléments narratifs, FERRERO simplifie les idées abstraites et permet aux spectateurs et aux lecteurs de mieux comprendre et d’apprécier son travail.

Les outils et techniques de la scénarisation dans la peinture

Pour intégrer la scénarisation dans ses tableaux FERRERO utilise des éléments tels que la composition, l’éclairage et les angles de vue, il crée des scènes dramatiques qui transportent les spectateurs et les lecteurs dans un autre monde.

Ensuite, Marc FERRERO utilise le développement des personnages pour susciter une connexion émotionnelle avec son public. Il crée des protagonistes auxquels le public peut s’identifier, permettant ainsi aux spectateurs et aux lecteurs de s’impliquer davantage dans l’histoire.

Enfin, il utilise l’intrigue pour garder son public en haleine. Il utilise des éléments de suspense, de mystère et de tension pour créer une expérience immersive et captivante.


Un exemple notable est sa série de tableaux “Les Storyboards” dans lesquels Marc FERRERO utilise la mise en scène pour raconter l’histoire d’une société où le temps est devenu obsolète, dominée par un personnage tyrannique, Lord Truelove. Dans ce monde, “L’Empire de l’Accélération” les masques dissimulent l’identité réelle des individus, et des capsules “Prêt-à-rêver” les maintiennent dans une béatitude artificielle. Un groupe de résistants qui jouent le rôle de gardiens de la Conscience, lutte pour réveiller l’humanité, utilisant l’humour et la dérision comme armes contre l’oppression. Chaque tableau est soigneusement composé, avec des détails minutieux et un éclairage dramatique, créant ainsi une atmosphère immersive pour le spectateur.

Cet exemple démontre clairement comment FERRERO utilise la scénarisation pour libérer son génie artistique. Grâce à son utilisation astucieuse de la mise en scène, du développement des personnages et de l’intrigue, il parvient à transcender les frontières entre la peinture et la narration, créant ainsi une expérience visuelle unique en son genre.

Conclusion: L’avenir prometteur de la scénarisation dans la peinture

Ces innovations dans la scénarisation ouvrent la voie à un avenir prometteur pour le storytelling Art. En combinant la peinture et la narration, les artistes peuvent aller au-delà des limites traditionnelles de l’art visuel et créer des expériences uniques pour le public. L’utilisation intelligente de la mise en scène, du développement des personnages et de l’intrigue permet aux artistes de créer des peintures qui racontent une histoire de manière visuellement puissante. Cette forme d’art hybride offre de nouvelles possibilités d’expression pour les peintres et une nouvelle expérience immersive pour les spectateurs.

Das les prochains articles, nous continuerons à explorer les techniques de scénarisation utilisées par Marc FERRERO et nous partagerons d’autres exemples inspirants de son travail. Restez à l’écoute pour découvrir comment la scénarisation continue de libérer le génie artistique dans le mouvement du storytelling Art.

L’empire de l’accélération, à travers les pages de ce roman graphique créé en peintures, Marc Ferrero nous plonge dans une aventure visuelle et intellectuelle hors du commun. La fusion entre une oeuvre peinte et narration sous forme de roman graphique nous transportent dans unmonde où la lutte contre l’oppression devient un hymne à la liberté. L’idée centrale de cette fusion est de créer un dialogue entre la forme verticale de la peinture et la structure horizontale du livre. En associant ces deux éléments, Marc FERRERO repousse les limites de la créativité et offrent de nouvelles perspectives aux spectateurs et aux lecteurs. D’un côté, la verticalité de la peinture lui permet d’explorer la composition, les couleurs, les textures et les détails dans un format qui attire le regard et captive l’attention. Les toiles verticales offrent une présence imposante et permettent de créer des œuvres d’art visuellement captivantes. Marc FERRERO peut ainsi jouer avec les dimensions et les proportions pour créer des effets visuels saisissants. D’un autre côté, l’horizontalité du livre offre une structure narrative linéaire, une progression qui guide les lecteurs à travers une histoire. Les pages du livre deviennent un support pour raconter cette histoire, en utilisant des séquences d’images qui se déploient de manière fluide. Les lecteurs peuvent ainsi suivre une narration visuelle qui se dévoile progressivement, en découvrant de nouveaux éléments à chaque page tournée. En combinant la verticalité de la peinture et l’horizontalité du livre, Marc FERRERO, artiste contemporain, crée une expérience artistique complète et immersive. Les spectateurs et les lecteurs sont invités à contempler les aspects esthétiques des peintures tout en suivant une histoire qui se déploie devant eux. Cela crée une expérience sensorielle riche, où l’aspect visuel et narratif se complètent et s’enrichissent mutuellement.

En tant qu’artiste, j’ai choisi de donner vie à ces personnages imaginaires pour plusieurs raisons.

– la création de personnages fictifs me permet d’explorer et d’exprimer ma propre imagination. En donnant vie à ces figures imaginaires sur la toile, je peux laisser libre cours à ma créativité et à mes idées. Les personnages fictifs me permettent de créer un monde unique et de donner forme à des concepts abstraits ou des émotions intangibles. Cela me permet de communiquer des messages et des histoires qui vont au-delà des contraintes de la réalité.

– les personnages fictifs me permettent d’explorer la diversité et la complexité de la nature humaine. À travers ces figures, je peux représenter différentes personnalités, émotions et expériences de vie. Chaque personnage fictif devient un miroir de la condition humaine, un moyen de réfléchir sur notre propre existence et de questionner notre identité. Je peux créer des archétypes ou des personnages symboliques qui représentent des aspects universels de l’expérience humaine, ce qui peut susciter une réflexion profonde chez les spectateurs.

– les personnages fictifs en peinture offrent une liberté d’interprétation et d’exploration. Contrairement à la représentation réaliste de personnes réelles, les personnages fictifs permettent aux spectateurs de projeter leurs propres histoires, émotions et interprétations. Chaque personne peut trouver un lien personnel avec ces figures imaginaires et créer sa propre relation avec elles. Cela crée un dialogue intime entre l’artiste, le personnage fictif et le spectateur, où chacun peut interpréter et ressentir de manière unique.

Enfin, créer des personnages fictifs en peinture peut également apporter une dimension narrative à mon travail artistique. Chaque personnage peut raconter une histoire, évoquer une situation ou représenter un moment particulier. Ces récits visuels peuvent stimuler l’imagination des spectateurs et susciter leur intérêt pour l’histoire racontée. Les personnages fictifs en peinture peuvent également être utilisés pour aborder des questions sociales, politiques ou philosophiques, en créant des métaphores visuelles qui invitent à la réflexion et au dialogue.Grâce aux techniques du Storytelling art je peux créer ces personnages avec des graphismes différents, cubistes, figuratifs ou surréalistes en fonction du besoin de la narration. Ces figures imaginaires sont un moyen puissant de communication artistique, qui transcende les frontières de la réalité et ouvre de nouvelles perspectives.
J’espère que mes personnages fictifs éveilleront votre imagination et vous inviteront à réfléchir sur le monde qui nous entoure.

Le storytelling art de Ferrero repose sur l’idée que chaque œuvre d’art raconte une histoire. En combinant divers mouvements artistiques tels que le cubisme, le surréalisme, le pop art et l’art abstrait, Ferrero crée des compositions visuellement dynamiques et riches en symboles. Chaque élément de l’œuvre est soigneusement choisi pour contribuer à l’histoire globale qu’il souhaite raconter.

L’un des aspects les plus fascinants du storytelling art de Ferrero est sa capacité à créer des personnages forts et emblématiques. Ses tableaux mettent souvent en scène des femmes puissantes et indépendantes, qui deviennent les protagonistes de leurs propres histoires. Ces personnages captivants sont souvent représentés de manière fragmentée, avec des éléments de différents mouvements artistiques, ce qui crée une tension visuelle et ajoute de la profondeur à leur histoire.

En plus de son utilisation des mouvements artistiques, Ferrero utilise également des éléments de la culture populaire pour enrichir ses compositions. Des icônes de la mode et du cinéma aux symboles emblématiques de la société contemporaine, Ferrero intègre habilement ces éléments dans ses œuvres pour créer des histoires qui résonnent avec le public. Cela crée un dialogue entre l’art et la culture populaire, invitant le spectateur à réfléchir à la façon dont ces influences façonnent notre perception du monde.

Le storytelling art de Ferrero est également marqué par son utilisation audacieuse de la couleur et de la texture. Ses tableaux sont souvent vibrants et expressifs, avec des coups de pinceau énergiques et des textures visuellement stimulantes. Cette utilisation de la couleur et de la texture ajoute une dimension sensorielle à l’expérience de l’œuvre, permettant au spectateur de s’immerger encore davantage dans l’histoire racontée.

En combinant les mouvements artistiques, la culture populaire, la couleur et la texture, Marc Ferrero a réussi à créer un style artistique unique qui transcende les frontières traditionnelles de l’art. Son storytelling art est une fusion d’idées et de techniques, qui invite le spectateur à explorer des histoires captivantes et à réfléchir aux multiples facettes de la condition humaine.

En conclusion, Marc Ferrero est un artiste visionnaire qui a utilisé les mouvements artistiques comme des outils au service de l’histoire. Son storytelling art est une célébration de la créativité et de l’imagination, invitant le spectateur à se plonger dans des histoires riches en symboles et en émotions. À travers son style unique, Ferrero repousse les limites de l’art contemporain et nous invite à explorer les multiples possibilités de l’expression artistique.

Paru dans la presse internationale

#MarcFerrero #StorytellingArt #MouvementsArtistiques #Créativité #CulturePopulaire #Couleur #Texture #ExpressionArtistique

Le mouvement surréaliste, né au début du XXe siècle, a révolutionné l’art en proposant une perspective nouvelle et audacieuse sur la réalité. L’un des aspects les plus fascinants de ce mouvement est son exploration du temps, qui défie les limites de la logique et nous plonge dans un monde onirique et mystérieux.

Les artistes surréalistes ont remis en question notre perception linéaire du temps, cherchant à capturer l’instant présent et à transcender les frontières temporelles. Ils ont créé des œuvres d’art qui défient la chronologie, mélangeant le passé, le présent et le futur dans un seul instant énigmatique.

Salvador Dalí, par exemple, est connu pour ses peintures surréalistes qui fusionnent des éléments incongrus et créent des paysages étranges. Dans ses œuvres, le temps semble se dilater et se plier, défiant toute rationalité. Les montres molles de son tableau emblématique, “La persistance de la mémoire”, représentent cette idée d’un temps élastique et malléable.

René Magritte, quant à lui, a créé des images énigmatiques qui jouent avec notre perception du temps et de la réalité. Ses peintures, telles que “La trahison des images” avec la célèbre phrase “Ceci n’est pas une pipe”, nous invitent à remettre en question notre compréhension du monde et de la temporalité.

Le concept du temps, vu de manière artistique, est une exploration fascinante qui transcende les limites de notre réalité quotidienne. Les artistes ont depuis longtemps cherché à représenter le temps dans leurs œuvres, à capturer son essence fugace et éphémère.Dans la peinture, le temps peut être symbolisé par des horloges, des sabliers ou des calendriers, rappelant ainsi la précision et la régularité de son passage. Certains artistes, comme Salvador Dali, ont utilisé des montres molles dans leurs œuvres pour représenter la relativité du temps, sa capacité à se déformer et à s’étirer. En somme, le mouvement surréaliste a ouvert de nouvelles portes dans notre compréhension du temps. Les artistes surréalistes ont remis en question les conventions et les limites temporelles, nous invitant à explorer des mondes intérieurs et des réalités alternatives. Leur travail nous rappelle que le temps est une notion subjective et que l’art peut nous aider à transcender les frontières temporelles pour nous connecter à l’instant présent et à notre imaginaire.

Marc FERRERO grâce à la narration développées dans le mouvement du Storytelling Art vous propose de plonger dans une fiction peinte afin d’explorer un univers surréaliste alternatif organisé en un véritable empire : L’Empire de l’accélération . A sa tête une sombre idôle, une véritable rockstar et des légions de fans qui lui avaient emboîté le pas, il était surnommé le sorcier du temps mais la magie du temps coloré lui fera face…

Une fiction peinte à l’huile en grand format mais également un roman graphique et une exposition immersive, pour éveiller notre esprit, défier nos perceptions et nous plonger dans un monde où le temps ne suit plus aucune règle. 🎨🌌🕰️

Jusqu’à ce jour, un peintre a toujours été associé à un seul et unique mouvement pictural. On peut éventuellement parler de période dans sa production, mais le terme de fusion en peinture n’a jamais été abordé jusqu’à présent, alors que c’est un principe fondamental dans toutes les autres formes d’art, lorsqu’il s’agit de créer. Pourquoi ?

La liberté totale d’expression graphique en peinture n’est arrivée qu’avec les impressionnistes, au début du siècle dernier, c’est donc un phénomène récent. Tout le XXe Siècle a été consacré aux recherches graphiques, et tous les artistes peintres ont donc été liés à un mouvement pictural : impressionnisme, fauvisme, cubisme, surréalisme, expressionnisme, abstraction, Pop art, graffitis art, Art conceptuel, etc.… !

Mon analyse, face à une toile blanche, fût que la modernité en peinture ne pouvait plus s’exprimer à présent qu’à travers une seule et même idée : la fusion.
Mais comment organiser ma volonté de fusion sur un même plan, sans tomber, dans un patchwork de graphismes désordonnés ? Il me fallait donc une idée directrice…

Seule la narration d’un récit au sein d’un même plan offrait cette possibilité.  Fait du hasard, en modifiant les graphismes qui se juxtaposent, je changeais les valeurs d’espace-temps sur un même plan, découverte essentielle puisque un récit est un ensemble d’actions qui s’enchaînent dans un temps imparti.
La chance est toujours du côté de celui qui sert les seuls intérêts de sa discipline.
Scénariser ma peinture afin d’ y introduire la fusion des graphismes devenait alors une priorité. Il

me fallait donc créer des personnages, des symboles, une quête, un combat et différents univers : ainsi est né le Storytelling Art et l’aventure folle de “Il était une fois la Comitive”. 

C’est dans le jardin secret des fleurs de question Mark que viennent se ressourcer Duke Spencer Percival, Cello di Cordoba et Lisa Laventura.

Les héros du conte philosophique : “il était une fois la comitive”.

C’est par le questionnement cher à Socrate qu’ils ont compris comment vaincre les machines qui avaient pris les commandes du monde moderne pour plonger l’humanité dans l’ère de l’accélération :

Les machines, tout comme les systèmes, détestent les phénomènes de vibrations, elles ont besoin de stabilité pour étendre leurs pouvoirs, or la couleur est une vibration, lorsqu’elle est entre dans le champ de vision d’une personne elle crée de grandes émotions, dans le champ de vision d’une machine elle se transforme en formule mathématique qui deviennent pixels.

Quand le marché de l’Art ne parle plus que de chiffres et de records plus extravagants les uns que les autres, il serait bon de se rappeler que ce sont les émotions qu’ont provoquées les oeuvres des grands peintres dans le cœur du public qui ont fait d’eux des grands maîtres et non une politique de chiffres astucieusement menée …

Retour en vidéo de ma performance en live à la villa @hublot, à l’occasion de la Coupe du Monde. C’était un plaisir de peindre dans ce magnifique cadre face à la mer et de vous rencontrer. Merci à la team Hublot pour ces incroyables moments !

Speed painting for 433 the Home of Football. During my visit in Doha, I was challenged by 433 to produce a live art piece and here is the final result.

Retour en vidéo sur 4 jours incroyables à DOHA à l’occasion de la Coupe du Monde. Merci à la team Hublot pour ces moments magiques ! 3 live performances, deux matchs de coupe du monde et quels matchs ! À très vite pour de nouvelles aventures avec la team Hublot.

Quand j’étais jeune, j’étais attiré par le monde de la bande dessinée. Pas parce que j’étais un fan de cet art, mais parce que j’adorais dessiner des personnages et j’étais très attiré par le fait de raconter des histoires et c’est ce qui m’a fait penser quand j’étais jeune que peut-être, je ferais des choses intéressantes dans la bande dessinée.

D’ailleurs, je dis toujours aux jeunes artistes, ceux qui aiment le dessin. C’est si vous voulez vraiment améliorer votre technique de dessin, travaillez dans la bande dessinée. Plutôt qu’aller dans des écoles, là où actuellement ce n’est peut-être pas là où on apprend le plus de choses sur l’art de dessiner. Après, je connais le pouvoir et les limites de la bande dessinée puisque je suis parti à Bruxelles pour être plus près de ce milieu-là, moi personnellement, je suis un peintre donc la BD obéit à certaines règles, la peinture, c’est tout à fait différent, déjà par le format donc j’utilise des techniques de bandes dessinées comme un outil comme j’utilise des techniques de cubisme. D’impressionnisme ou de pop art et comme je le rappelle très souvent, j’utilise ces moyens comme des outils que je peux ou des comme des effets spéciaux dans le cinéma. On peut les utiliser en fonction de ce que je veux raconter sur une toile, je vais utiliser certains effets ou d’autres effets, le fait utiliser toutes ces techniques de dessin ou de graphismes comme des outils me permet d’entrer dans un monde de fusion parce que en tant que peintre lorsque je regarde un tableau, je dois saisir l’atmosphère en un regard alors que par exemple dans une BD, vous pouvez lire case par case donc ce n’est pas du tout du tout la même chose une page de BD n’est pas une toile, ce n’est pas du tout pareil.

Moi, quand je travaille sur une toile, je cherche à ce qu’au premier regard, on saisisse l’atmosphère. On comprend qu’il se passe une action et ensuite, on va aller fouiller dans divers éléments du tableau pour découvrir ce qui s’y passe, les changements de graphismes permettent des changements d’espace-temps. On comprend qu’une action peinte avec une forme cubiste n’est pas la même action qui va se dérouler sous une forme figurative et c’est ça qui crée des décalages intéressants sur un même plan et c’est pour cette raison que j’ai créé le storytelling art puisqu’un des point essentiels de ce mouvement est la fusion des graphismes pour créer une autre unité ensuite l’intérêt en changeant les graphismes, ce n’est pas. Ce n’est pas un patchwork de graphismes différents pour en mettre un petit peu pour tous les goûts, c’est vraiment lié à ce que je raconte et certains éléments sont pour moi intéressants parce que je vais les présente cubisme et je trouve qu’au niveau d’un critique d’art ce qui serait intéressant.

C’est face à une toile traitée de cette façon-là, de moi ou d’un autre, peu importe, ce serait de poser des questions à l’artiste en disant. Bon, vous avez pris l’option de traiter telle partie de votre œuvre en cubisme, pourquoi est-ce que c’est l’option que vous avez prise, pourquoi pas en figuratif, pourquoi sur telle partie, vous utilisez un effet Pop Art pourquoi sur telle partie, vous êtes plutôt dans le figuratif, je trouve que ça crée une conversation extrêmement intéressante sur les choix d’un artiste par rapport aux options qu’il a prises seul face à sa création. L’unité générale d’une œuvre par rapport à ces principes de fusion est extrêmement intéressante à trouver lorsque je peins et c’est vraiment extrêmement intéressant de faire ces mélanges, de passer d’un mouvement à un autre. Moi, j’adore faire ça, c’est vraiment quelque chose qui me plaît énormément et qui me transporte, j’aime faire ça, c’est vraiment mon truc.

La société actuelle nous impose de devenir des êtres Multifaces afin de s’adapter aux différentes situations de la vie, alors cela peut être très séduisant de jouer différents personnages et je pense que c’est ce que la société nous vend… Comment rester soi-même dans le même temps ? Dans mon histoire les êtres Multifaces sont des êtres interchangeables puisque ils n’ont pas de vraie personnalité, ils se sont perdus dans le jeu des apparences, ils me permettent d’exprimer le côté positif d’une évolution mais aussi son côté négatif ou dangereux par rapport à notre époque. Corvéables à merci, garant des institutions, les êtres multifaces forment la plus grande population de l’Empire de l’accélération.Ils sont capables de rivaliser en termes d’efficacité et de rapidité avec n’importe quel outil connecté de l’Empire de l’accélération, grâce à la reprogrammation de leur cerveau. Ce sont des êtres totalement dévoués au maître absolu du monde de l’accélération : LORD TRUELOVE, Le maître du temps…

Le storytelling Art n’est pas un mouvement graphique, c’est une technique d’interprétation, ce qui impose à l’artiste de se renouveler sans cesse.  Dans cette nouvelle collection d’œuvres originales, j’intègre les nouvelles technologies à ma production artistique afin de créer du dynamisme et surtout de trouver des systèmes créatifs qui me permettent de raconter des histoires avec beaucoup de spontanéité, un trait rapide, des associations d’idées et de symboles. Je suis un artiste qui vit avec son temps, j’aime m’exprimer à l’huile avec des techniques classiques et grâce à l’exigence technique et la richesse de ces œuvres, de multiples possibilités s’offrent à moi grâce à l’apport des nouvelles technologies et ainsi, je procède de la même façon que cela est fait dans la musique et je remise mes œuvres à la manière d’un DJ afin de les réinterpréter.

J’ai pris le parti de travailler ces œuvres à plat sans qu’elles soient montées sur châssis (elles sont donc vendues roulées) ainsi le collectionneur pourra décider de la finalité de l’œuvre : Exposée sous-verre, sur châssis ou contrecollée sur dibond et encadrée ou pas. Le storytelling Art n’est pas un mouvement graphique, c’est une technique d’interprétation, ce qui impose à l’artiste de se renouveler sans cesse.  Dans cette nouvelle collection d’œuvres originales, j’intègre les nouvelles technologies à ma production artistique afin de créer du dynamisme et surtout de trouver des systèmes créatifs qui me permettent de raconter des histoires avec beaucoup de spontanéité, un trait rapide, des associations d’idées et de symboles. Je suis un artiste qui vit avec son temps, j’aime m’exprimer à l’huile avec des techniques classiques et grâce à l’exigence technique et la richesse de ces œuvres de multiples possibilités s’offrent à moi grâce à l’apport des nouvelles technologies et ainsi, je procède de la même façon que cela est fait dans la musique et je remise mes œuvres à la manière d’un DJ afin de les réinterpréter.

https://youtu.be/sip5hLeDXcc

Marc Ferrero abolishes the borders of the various movements in the history of art, open to all influences and seasoned with all techniques he creates the storytelling art whose foundation is to appropriate the graphics and transform them into tools for narration …#storytellingart #art #surrealisme #abstraction #POPART #cubismFiguratif, cubisme, surréalisme, pop art …Marc Ferrero abolit les frontières des différents mouvements de l’histoire de l’art, ouvert à toutes les influences et aguerri à toutes les techniques il crée le storytelling art dont le fondement est de s’approprier les graphismes et de les transformer pour en faire des outils au service de la narration …

Quand les machines et la technologie créent l’accélération de notre univers l’esprit humain a tendance à s’endormir ou du moins à devenir feignant et c’est là qu’interviennent les capsules READY TO THINK et c’est ce qu’on nous donne comme nourriture actuellement c’est-à-dire que le monde va vite et l’homme n’a plus le temps de penser donc on lui fournit de la matière pour comprendre… mais qu’elle matière ?

Voila la dérive de l’accélération qui est le thème central de mon œuvre qui dénonce le côté pervers d’un monde qui va toujours plus vite…

“L’Horloge atomique” Huile sur toile 185 X 185 cm
“Question Mark” Original Huile sur toile 185 X 185 cm

Pour combattre l’univers de l’accélération que nous impose les machines et les formules mathématiques j’ai donc créé le motif du question Mark (point d’interrogation entouré de deux points d’exclamation)car je pense que le monde ne change pas qu’avec des révolutions, on l’a bien compris avec ce qui s’est passé aux siècles derniers, mais on peut changer le monde en se posant les bonnes questions qui peuvent démonter n’importe quel processus afin d’en tirer vraiment l’essence, on arrive ainsi à comprendre ce qui peut se passer dans le monde grâce aux questionnements, c’est essentiel dans mon œuvre et c’est une arme magique que possèdent mes personnages héroïques dans LA COMITIVE…

Le combat entre le bien et le mal, le bien est personnifié par les personnages de mes héros et le mal par l’empire de l’accélération, un être maléfique s’est emparé du temps Lord Truelove, Le maître du temps, et à créé un monde plus rapide, l’Empire de l’accélération …

C’’est ce que nous impose le monde d’aujourd’hui, celui de la technologie, des machines, vivre dans un temps accéléré qui nous déshumanise et qui plonge l’homme moderne dans une fuite en avant permanente : il faut vivre vite, il faut créer vite, il faut créer de la valeur le plus rapidement possible et là est le danger pour l’humanité, voilà ce que je dénonce à travers mon œuvre.

Pour exprimer cela j’ai créé un conte philosophique “Il était une fois la Comitive…” et je mets en avant l’ idée que les Machines sont des bons esclaves mais certainement pas de bons maîtres…

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© Marc Ferrero 2022
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